Les emballages comestibles, la nouvelle tendance durable
Alternative aux emballages en plastique traditionnélles
À ce moment n’est qu’un échantillon de marketing mais il y a une boulle appelée Ooho qui est comestible et un emballage au même fois. Elle est fait depuis les algues et dedans contient de l’eau potable. Avec ça, on essaye de réussir une action remarquable du marketing et encourager le consomme d’emballages comestibles aux consommateurs qui ont de la conscience pour l’environnement.
C’est une alternative comestible aux emballages plastiques fabriquée base d’algues marines. Ooho fut développée par la Start Up Skipping Rocks Lab placé à Londres. La société est en train de produire environ de 2000 unités de Ooho. La nouvelle forme sphérique de conditionnement, appelée par leurs fabricants « comme l’eau qui peut se manger » est biodégradable, hygiénique et pas cher de fabriquer. Elle se compose principalement de Chlorure du sodium et d’un dérivé des algues marines appelé Alginate de sodium.
Ooho est un bon package de remplacement qui serait vraiment applicable dans de nombreux produits différents. Le potentiel de réduction des emballages est très élevé pour l’un des produits pétroliers utilisés dans le monde entier.
Le concepteur d’Ooho, Pierre Paslier, a décrit le produit comme une « fruit artificiel », qui utilise une double membrane pour contenir de l’eau. Pour transporter des grandes quantités de l’eau, une série de capsules peuvent être emballées dedans une peau plus grande et plus brute, comme celle d’une orange.
À la fin du jour, tu ne doives pas le manger, mais cette partie comestible montre comment de naturelle elle est. Les consommateurs sont très heureux par ce que tu peux créer un matériel à emballer si inoffensif qu’on peut lui manger. Il y a beaucoup de choses qui ne sont pas bonnes aux bouteilles en plastique : le temps qu’il leur faut pour se décomposer, la quantité d’énergie qui se consacre à les fabriquer et le fait que nous en utilisons de plus en plus.
Les investisseurs montrent un croissant intérêt aux technologies « propres » avec un marché mondiale qui augmente chaque année ($310 bn en 2014), qui a supposé un essor de 16%.
Sean Coary, un expert dans le comportement du consommateur de l’Université de St Josef en Philadelphie, Pennsylvania soutient : « Beaucoup des solutions dans tout le monde qui tiennent vers la durabilité et vers une vie plus responsable avec l’environnement, sont basées dans lequel le consommateur soit partie de l’expérience.